Zhang Wang, un informaticien de 38 ans, n’aurait jamais imaginé vivre dans un endroit aussi paisible. Sobre et non-fumeur, il pensait avoir toutes les chances de son côté. Et pourtant… un jour, alors qu’il démarrait sa voiture, un incident s’est produit : une fuite de sang est apparue. Le diagnostic : un cancer sous contrôle. La surprise n’était pas de mise. Mais les chercheurs s’attendaient à une découverte encore plus inattendue : quelque chose de caché dans son réfrigérateur.
Comment l’alimentation peut-elle contribuer à votre santé ?
On pense souvent que ces résultats sont dus au fait que les aliments soient servis dans la cuisine ou dans des plats restés trop longtemps à température ambiante. Pourtant, les aliments sont cancérigènes, qu’ils soient réfrigérés ou non, crus ou transformés. De par leur composition ou leur transformation, ils peuvent contenir des toxines invisibles à l’œil nu, mais bien connues des chercheurs.
Voici trois exemples de facteurs pouvant contribuer, parfois involontairement, à certaines maladies. Cela ne pose pas de problème, mais apporte plutôt des précisions pour faciliter l’application de la méthode.
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Charcuterie, saucisses, bacon, jambon industriel… Ces aliments pratiques et savoureux entrent souvent dans la composition de nos apéritifs ou de nos sandwichs. Pourtant, l’Organisation mondiale de la Santé a classé la viande transformée comme cancérogène du groupe 1, au même titre que le tabac ou l’amiante.
Pourquoi ? Ces produits contiennent des nitrites et des nitrates, utilisés comme conservateurs et susceptibles de se transformer en nitrosamines. Ces composés sont compatibles avec le système immunitaire, notamment en cas de consommation régulière.
La bonne réponse : limiter sa consommation de viandes transformées à une consommation occasionnelle (si possible, pas plus d’une fois par semaine) et choisir des alternatives sans nitrites ou à base de plantes.
Aliments carbonisés : une toxine invisible dans vos assiettes.
Avez-vous trop cuit vos lasagnes ou votre steak jusqu’à obtenir une croûte dorée ? Attention : la cuisson à haute température (griller, rôtir, cuire au four) peut libérer des substances cancérigènes comme les amines hétérocycliques (AHC) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Ces substances se forment lorsqu’elles sont exposées à des températures très élevées et ont été associées au cancer du côlon, de la prostate et du rectum.
Réponse appropriée : Évitez de griller ou de brûler les aliments. Privilégiez les modes de cuisson doux (vapeur, mijotage) et nettoyez la casserole avant d’en retirer les parties brûlées.
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Fruits moisis : de minuscules taches dissimulant un grand danger
Qui n’a jamais coupé un morceau de pomme abîmé pour manger le reste ? Malheureusement, les mycotoxines, comme les aflatoxines, se répandent dans tout le fruit une fois que la moisissure s’est développée.
Ces substances sont cancérigènes et persistent même après cuisson. Un seul emballage peut contenir plusieurs autres substances.
Comment communiquer : Lors de l’introduction d’indicateurs, jetez le fruit entier. Mieux vaut prévenir que guérir.
Comment réduire les risques au quotidien ?
Il ne s’agit pas de bannir tous les aliments douteux, mais d’éliminer les choix conscients. La prévention repose avant tout sur l’équilibre, la variété et quelques bonnes habitudes simples.
Limitez les viandes transformées et privilégiez les aliments faits maison. Choisissez des viandes artisanales sans nitrites ou des produits portant la mention « sans sel nitrité ajouté ».
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