Pourquoi les médecins les évitent :
- Une utilisation à long terme est liée à des maladies rénales, à une carence en vitamine B12 et à des fractures osseuses.
- Une surconsommation peut en fait augmenter le risque d’infections de l’estomac, car l’acide est une barrière naturelle contre les bactéries nocives.
- De nombreux patients les utilisent pendant des années alors qu’ils étaient prévus pour une utilisation à court terme.
Alternatives plus sûres :
- Des changements de style de vie comme surélever la tête de votre lit, éviter les repas tard le soir et réduire votre consommation d’alcool.
- Utilisation à court terme d’antiacides ou de bloqueurs H2 (comme la famotidine).
- Ajustements alimentaires : ajout de thé au gingembre, de probiotiques et de portions de repas plus petites.
2. Certains somnifères (benzodiazépines et « médicaments Z »)
En cas d’insomnie, nombreux sont ceux qui ont recours à des médicaments sur ordonnance. Des médicaments comme le zolpidem (Ambien), l’eszopiclone (Lunesta) et les benzodiazépines sont courants.
Pourquoi les médecins les évitent :
- Ces drogues créent une dépendance et peuvent conduire à une dépendance.
- Ils augmentent le risque de chutes et de confusion, en particulier chez les personnes âgées.
- L’utilisation à long terme est liée à des troubles de la mémoire et même à un risque de démence.
Exemple concret :

Une enseignante retraitée de 62 ans a développé une insomnie chronique. Son médecin lui a prescrit du zolpidem. Au bout de trois mois, elle a constaté des trous de mémoire et une somnolence matinale. Après avoir suivi une thérapie cognitivo-comportementale pour l’insomnie (TCC-I), son sommeil s’est amélioré sans effets secondaires.






