
Mais en les regardant de plus près, j’ai senti quelque chose d’étrangement intentionnel. Leur emplacement, leur forme, même leur légère teinte verdâtre – tout semblait trop fragile pour être détruit.

C’est là que j’ai compris : ce n’étaient pas des œufs de mites ni des signes de nuisibles.
C’étaient des œufs de papillon, pondus d’une manière ou d’une autre sur mes vêtements, un rappel inattendu de la persistance silencieuse de la nature dans les endroits les plus étranges.






